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Depuis sa création en 1972 par Jean Cluzel, la Fédération des Elus Bourbonnais a pour seul souci le service de l’intérêt général en Allier ; elle entend

- informer ses membres sur les problèmes européens, nationaux et des collectivités territoriales ;

- soutenir ses membres dans leurs actions en faveur du développement économique, social et culturel ;

- participer à la recherche des solutions tendant à donner aux élus les moyens d’assumer leurs responsabilités.

La Fédération des Elus Bourbonnais a pour but de réunir les élus bourbonnais, quelle que soit leur appartenance politique ou leurs références philosophiques dans le respect de la liberté de chacun et dans la tolérance.
 
Elle organise chaque année plusieurs séances de travail du comité directeur et un congrès annuel sur un sujet d'actualité concernant les élus.
 
la Fédération des élus bourbonnais, créée en avril 1972 par Jean Cluzel, pour « réunir les élus bourbonnais dans le respect de la liberté de chacun avec pour seul objectif le service de l’intérêt général en Bourbonnais ». La FEB vise à étudier aussi bien les problèmes nationaux des collectivités locales que ceux propres au département de l’Allier. L’intérêt d’un tel mouvement est de permettre, par le dépassement des clivages politiques, le travail en commun des élus, qui rencontrent les mêmes problèmes et s’enrichissent mutuellement du récit de leurs expériences vécues. Les élus, incités à aller au fond des choses, partagent ainsi leurs réussites comme leurs échecs en matière de gestion locale.
 
Le comité directeur de quatre-vingt membres se réunit deux fois par semestre, s’informe des évènements intéressant les villes et les communes rurales et mandate ses parlementaires et ses conseillers généraux pour des actions spécifiques. Le temps fort de ses activités est le congrès annuel qui rassemble de quatre à cinq cents élus, autour d’une personnalité nationale.
 
Il est indispensable d’offrir l’occasion aux Bourbonnais de pouvoir dialoguer avec un responsable d’audience nationale, d’écouter ses arguments, ses analyses, l’explication de ses décisions,mais aussi de l’interroger et de relayer ce qui est ressenti sur le terrain. Et à mon sens, de tels échanges sont plus fructueux dans l’ambiance sereine de notre Congrès, que
dans celle enfiévrée d’un meeting, où le bruit des cornes de brume masque trop souvent l’argumentation, quand il ne la remplace pas.
 
Ainsi beaucoup d’élus locaux se souviennent-ils encore de la venue à Vichy, au congrès de la FEB, des Présidents du Sénat, Alain Poher, Christian Poncelet ; de la défense du développement durable par le ministre de l’Ecologie, Serge Lepeltier, quelques années avant le Grenelle de l’Environnement, ou de l’engagement passionné et de la franchise de Brice Hortefeux, alors Ministre des Collectivités locales. Et plus récemment, les interventions de Martin Hirsch, Haut Commissaire aux Solidarités Actives contre la Pauvreté et de Laurent Wauquiez, Secrétaire d’Etat à l’Emploi, ont démontré leur capacité à demeurer à l’écoute des réalités locales.
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